Comment apprendre à lâcher-prise ? 20 conseils pour y arriver

comment apprendre à lacher prise

Pourquoi les hypersensibles ont du mal à lâcher prise ?

Si vous vous intéressez au développement personnel, vous avez sans doute déjà vu plein de gens bien intentionnés vous donner ce conseil de « lâcher prise ». Sauf que finalement personne ne nous dit vraiment comment faire, sinon de faire en sorte de ne plus y penser et d’accepter.

Or pour un hypersensible, c’est tout de même très compliqué d’arriver à ne plus penser. Je pense que vous comme moi, on aimerait tous avoir un bouton « off » sur le cerveau pour stopper ce flux incessant, mais malheureusement personne ne l’a encore trouvé.

La réalité c’est que vous ne pourrez pas arrêter de penser, et certaines personnes de votre entourage ne pourront pas de toute façon pas le comprendre.

C’est comme certaines personnes qui vont dire : « quand on veut on peut » à une personne qui traverse un épisode dépressif, alors que par définition une dépression prive de volonté. Ou d’expliquer à un alcoolique qu’il faut simplement qu’il arrête de boire, ça ne va pas énormément l’aider.

On voit bien qu’il ne suffit pas de dire à quelqu’un d’arrêter de penser à quelque chose, pour que soudainement il arrête d’y penser, c’est bien plus complexe que ça.

Et certaines personnes qui n’ont pas de difficulté à passer à autre chose, ont du mal à se rendre compte que pour certains il est compliqué de ne pas ressasser les mêmes choses en boucle.

Et c’est ce qui est difficile avec le lâcher prise quand on est hyper, c’est d’arriver à faire en sorte que « la salle des machines » que l’on a dans sa tête ralentisse un peu.

Alors sans être la solution miracle qui de toute façon n’existe pas, l’article est là pour vous donner 20 conseils pour essayer d’y parvenir. Pour arriver à admettre le fait qu’on n’a plus forcément le contrôle sur les choses, et l’accepter plus sereinement

1 Identifier sur quel aspect vous ressentez le besoin de lâcher prise.

Cela signifie prendre conscience du point ou des domaines sur lequel vous auriez besoin de lâcher-prise. il s’agit souvent de domaines de votre vie qui vous prennent énormément d’énergie, qui vous fatiguent.

Souvent c’est assez simple à identifier, puisqu’il s’agira de ce qui occupe le plus vos pensées et vos préoccupations. Parfois même il s’agira de ce qui vous empêche de dormir (vive les insomnies …).

En tout cas il s’agit toujours de situations qui génèrent des résistances, et parvenir à les identifier est déjà énorme. Parfois cela peut être plus compliqué et pour vous y aider, n’hésitez pas à parler à des proches voire même à écrire.

2 Ecrire

En plus de vous aider à identifier précisément ce sur quoi vous auriez besoin de lâcher. Le fait d’écrire permet de nommer les situations et les émotions que l’on ressent.

C’est vraiment une excellente habitude, parce que cela permet de se libérer d’un certain poids sur les épaules. On parvient d’avantage à prendre la distance nécessaire sur les événements, et donc on y voit beaucoup plus clair.

3 Poser un regard lucide et bienveillant sur vous

Personnellement me voiler la face a été ma spécialité pendant longtemps, je ne voulais pas voir que j’avais des blessures sur lesquelles il me fallait travailler.

Et en fait il n’y a rien de plus humain que de ne pas vouloir voir la vérité en face. Mais ce travail de recul sur la situation aide à voir la vérité telle qu’elle est, même si elle ne fait pas toujours plaisir.

Pour autant, et c’est peut-être le premier réflexe que vous aurez, il ne servira à rien de vous juger durement et de vous dénigrer. C’est même clairement contre-productif puisque ça ne vous permettra pas de lâcher-prise, et cela ralentira même votre évolution.

Soyez simplement lucide sur la situation en essayant de ne pas culpabiliser. Pour y parvenir essayer de garder tout de même un regard bienveillant sur vous.

La bonne idée c’est sans doute de faire comme lorsque vous écoutez quelqu’un d’autre que vous, c’est à dire de parvenir à garder sur vous un regard neutre et bienveillant. Après tout puisque vous êtes bienveillant envers les autres, pourquoi vous ne le seriez pas avec vous-même.

En clair reconnaissez simplement que vous êtes vulnérable dans ce domaine. Acceptez que vous ayez peut-être fait des erreurs mais gardez également en tête que vous avez fait de votre mieux en fonction de ce que vous étiez en capacité de faire.

4 Identifier ce que je peux changer

Lorsqu’on a pris le recul nécessaire sur une situation, il est nécessaire de bien y distinguer :

  • Ce qui ne dépend pas de moi et que je ne peux pas changer. Par exemple s’il se met à pleuvoir alors que j’avais prévu de faire un grand tour à vélo, je n’ai pas la possibilité de faire en sorte que la pluie cesse (A part si je sais faire la danse du soleil, évidemment)
  • Ce qui dépend de moi, en tout cas ce sur quoi je peux avoir une influence. Bien souvent il s’agira de ma réaction par rapport à un événement. Pour reprendre l’exemple de la pluie, soit je décide de m’énerver sur ça, de maudire sur le fait qu’il pleut tout le temps.
    Soit je fais en sorte d’essayer d’accepter ce qu’il est, et je m’adapte à la situation. Pour les plus courageux cela serait de faire du vélo malgré la pluie, et pour les moins courageux comme moi de rester au chaud avec un plaid sur les genoux et une boisson chaude.

5 Accepter que l’on n’a pas de contrôle sur les choses

Le lâcher-prise passe par le fait de parvenir à admettre qu’il y a beaucoup d’événements ou de situations sur lesquels nous n’avons aucun pouvoir. Et c’est quelque chose de très compliqué, tant nous aimons avoir le contrôle sur les choses.

Bien souvent le fait de ne rien maîtriser fait peur, mais c’est pourtant une nécessité. Si par exemple une personne décide de nous engueuler, ce n’est évidemment pas de notre volonté.

On ne peut rien y faire, et qu’il ne s’agit pas de notre colère mais de la sienne. Cela nous demande aussi d’accepter quelque chose de difficile, c’est le fait que malgré notre bonne volonté on ne peut pas changer les autres.

Pour y parvenir, la difficulté réside surtout dans le fait de ne pas écouter son ego.

6 Ne pas écouter son ego

Parce que c’est bien notre ego qui voudrait avoir une maitrise totale des événements, afin de nous rassurer et de nous protéger d’éventuels dangers.

On ne peut pas faire taire son ego, mais on peut le remercier de nous avoir alerté d’une situation. Alors une fois que c’est fait, on fait le choix délibéré (et difficile) de ne pas l’écouter.

C’est d’autant plus nécessaire parce que dans un conflit bien souvent chacun a sa propre vérité, et qu’il arrive parfois que vouloir avoir le dernier mot soit destructeur pour la relation.

Et en certaines circonstances, en tout cas lorsque c’est nécessaire, il faut parfois accepter de ne pas avoir raison.

Cela demande de moins écouter son orgueil et de rester dans une démarche d’humilité, et de s’autoriser même à prendre un peu de hauteur sur les événements.

7 Prendre du recul

Pour parvenir à ne pas écouter ce foutu ego, il faut essayer de prendre le recul nécessaire sur la situation. Pour parvenir à faire cela il y a une question toute simple à se poser.

Est-ce que cette situation aura encore un impact sur moi dans 5 ans ? Dans l’immense majorité des cas, ça n’est pas le cas. Bien-sûr que la durée de 5 ans est un peu arbitraire, l’idée ici c’est arriver à réaliser que ce qui se passe n’est que temporaire.

Comme les émotions que vous ressentez et qui ne durent qu’un temps, tout finit par passer. Et c’est important de le réaliser parce que cela aide à les accepter.

8 Accepter cet état

Bien souvent, on peut être amené à essayer d’éviter de ressentir des émotions négatives. Cela n’est bien sûr pas fait de façon consciente, mais notre cerveau met en place des stratégies d’évitement afin de ne pas souffrir.

En gros on préfère enfouir nos émotions sous le tapis, mais elles finissent toujours par ressortir d’une façon d’une autre. Comme le montre cette illustration d’apprentie girafe, elles ne disparaissent pas pour autant.

apprentie girafe émotions sous le tapis

Essayer de vous dire que les émotions que vous vivez sont légitimes, et accepter votre vulnérabilité vous rend plus authentique, plus vrai. Alors autorisez-vous à ressentir de la colère, de la tristesse ou de la frustration.

Parce ce que c’est le fait de ressentir des émotions qui fait de vous un être humain, et non un robot.

9 Revenir à moi

Comme vous vous autorisez à ressentir et à vivre pleinement vos émotions, vous pouvez également vous autoriser à en prendre soin.

Une fois ce déluge d’émotions passé, c’est sans doute le moment de vous recentrer sur vous et de vous demander : « comment je peux prendre soin de moi ? ». C’est aussi là que l’on remarque ce qui est important pour soi dans sa vie. C’est à dire ce qui est prioritaire et ce qui ne l’est pas.

C’est en revenant à soi, et en pensant à ce qui compte vraiment que l’on peut commencer à relativiser. Ce qui nous paraissait être une montagne, n’est bien souvent qu’une colline que l’on parviendra à franchir.

10 Respirer

Parvenir à lâcher-prise passe avant tout par le fait de calmer le mental. Se concentrer sur la respiration et notamment pratiquer la cohérence cardiaque peut vous aider à baisser votre niveau d’anxiété.

De la même façon pratiquer la méditation de pleine conscience, aide à mieux gérer les flux de pensée qui peuvent envahir votre tête.

Bien souvent les méditations guidées vous invitent à vous intéresser aux différentes parties de votre corps. Ce scan corporel est également une bonne manière de relâcher toutes les tensions dans le corps.

11 La visualisation

La visualisation ce n’est pas forcément le fait de scanner son corps, cela peut être simplement le fait de se voir dans un endroit que l’on apprécie, que ce soit un lieu réel ou fictif. L’idée dans ce cas c’est plutôt de vous aider à faire un expérience au niveau de vos sens, afin de relâcher les tensions

la visualisation peut aussi consister à s’imaginer dans une vie future, une fois qu’un objectif visé est atteint. Dans ce cas cela aide encore d’avantage au lâcher prise, car on se crée des images mentales positives.

Cela nous aide à nous focaliser sur du positif, plutôt que ce qui nous pèse. Ce qui ne veut pas dire qu’on fait comme si nos problèmes n’existaient pas, c’est simplement qu’on se crée un horizon positif que l’on cherche à atteindre.

Ces techniques peuvent se faire dans le cadre de méditations, mais aussi en dehors de cela. Le but est de créer une expérience émotionnelle positive.

12 Se concentrer sur ce qui va bien

Et là encore, le but n’est pas de faire comme si tout allait bien et de nier les problèmes. L’objectif est d’essayer d’être d’avantage objectif envers soi-même et de voir également le positif en soi-même.

Cela implique de ne pas être trop dur envers soi-même, et mieux de savoir faire preuve d’auto-compassion. En réalité vous avez forcément des qualités, c’est simplement que vous ne les voyez pas.

Même si à certaines périodes il se produit sans doute de négatif, il y a aussi parfois des événements positifs qu’on ne relève même plus. Parce qu’on a un grand voile noir devant les yeux, qui nous empêche de voir le positif.

Pour vous y aider, vous pouvez mettre en place une routine qui consiste à noter sur un carnet : 3 choses ou événements qui vous ont rendu heureux dans la journée et pour lesquels vous éprouvez de la gratitude.

C’est ce qu’on appelle également souvent « un journal de gratitude », et le fait d’en faire une habitude vous aide à lâcher-prise sur le négatif. Cela vous aide à voir la partie positive d’une situation, même de celles qui sont les plus difficiles.

13 Oser dire non à ce qui ne vous convient pas

Contrairement à ce que beaucoup peuvent penser spontanément, le lâcher-prise ne consiste pas à dire oui et à accepter quelque chose qui ne nous convient pas. Il consiste à accepter le fait qu’on ne peut pas changer ce qui ne dépend de nous.

Néanmoins on peut influencer la façon dont on réagit à un événement, et on peut tout aussi bien décider que quelque chose ne nous convient pas et qu’on ne l’accepte plus.

Si comme moi vous avez tendance à faire passer les besoins des autres avant les vôtres, c’est quelque chose qui n’est pas forcément évident à faire : d’oser dire non. Pourtant en certaines circonstances c’est nécessaire, afin de ne pas laisser vos besoins de côté.

Le pire étant que l’on peut parfois se sentir coupable, de quelque chose qui nous fait pourtant du bien. Ce qui est quand même dommage.

C’est pour cela que dire non à l’autre c’est avant tout se dire oui à soi, c’est avoir suffisamment d’estime de soi pour se dire qu’on ne mérite pas ça. C’est ça dire qu’on vaut mieux que ça, qu’on mérite mieux.

Alors dites non, aussi souvent que c’est nécessaire, parce que c’est aussi ça le lâcher-prise.

14 Revenir au moment présent

Quand vous sentez qu’il est train de se jouer tous les pires films catastrophes, dans votre esprit. Que quand vous pensez au présent et même à l’avenir, vous ne voyez que du négatif et du noir.

Essayer de revenir au moment présent, histoire de calmer tous ces scénarios du pire. Je sais, facile à dire et difficile à faire, et je vous avoue que des fois moi aussi je galère.

Gardez en tête que personne peut savoir ce qui va passer dans l’avenir (à part si vous êtes un médium évidement, mais c’est pas la majorité de la population). Les scénarios que vous vous faites dans votre tête ne sont pas réels, mais bien le fruit de votre imagination.

Pire c’est même l’expression de vos angoisses, ce sont vos peurs qui s’expriment. Or vous n’êtes pas vos pensées et vous n’êtes pas vos peurs.

Un des accords toltèques dit de ne pas faire de supposition, là dans ce cas il s’applique parfaitement.

Vous ne vivez pas dans le futur, ni dans le passé d’ailleurs, vous vivez dans le moment présent tel qu’il est. Sans supposer ce qu’il pourra être dans l’avenir, car vous n’en savez rien.

Si vous regardez en arrière dans votre vie, il s’est produit plein d’événements que vous n’auriez jamais pu imaginer. La vie s’amuse toujours à écrire des scénarios improbables, et comme on n’y peut rien il faut essayer de ne pas en avoir peur et de les accepter.

15 S’accorder des moments de calme et ralentir

Cela signifie de prendre du temps pour soi et faire des choses que l’on aime. Que ce soit des beaux moments passés seul ou avec des proches que l’on aime, cela nous aide à lâcher prise sur ce qui nous préoccupe.

S’accorder de la paix et commence à prendre soin de soi, apporte de la légèreté dans nos vies. C’est bien le but recherché : avoir l’esprit plus léger.

16 Accepter de vous pardonner

C’est peut-être le point le plus dur à appliquer, accepter d’enfin « se foutre la paix ». En tant qu’hypersensible on est quand même très très fort pour se mettre des gros sacs de culpabilité sur le corps, partout où c’est possible.

Posez ces sacs à l’abri quelque part et très loin, libérez vous de ce poids bien trop lourd pour vous. Vous ne méritez pas de vous punir ainsi, d’ailleurs bien souvent vous ne feriez pas subir aux autres ce que vous êtes en train de vous infliger.

Essayer de renoncer à la culpabilité et préférez l’auto-compassion, qui vous aidera bien plus à avancer. Vous pouvez vous pardonner de vos erreurs parce que vous avez la volonté de ne plus les refaire.

Parce que vous avez conscience que vous êtes imparfait et que vous avez envie d’évoluer, rien que pour cela vous pouvez vous autoriser à laisser la culpabilité de côté.

17 Vous excuser

Si vous ne parvenez pas à vous libérer de vos erreurs du passé, et de votre vieille culpabilité. Peut-être que la solution passe par le fait de présenter vos excuses à quelqu’un, si cela vous semble approprié.

Sans en attendre quoi que ce soit, parce que l’autre ne nous doit rien. Il n’est absolument pas tenu d’accepter nos excuses, s’il n’en pas envie ou qu’il ne se sent pas prêt pour ça.

C’est pour vous que vous le ferez pour pouvoir enfin vous libérer de votre culpabilité, et pour couper les ponts avec vos ratés du passé

18 Commencer à se projeter dans le futur

Et ça n’est pas du tout incompatible, avec le fait de vivre au présent. Parce que vivre le moment présent c’est aussi accepter qu’on ne sait pas forcément comment les choses vont se passer dans l’avenir.

C’est parce qu’on a pas le contrôle sur l’avenir, que le lâcher-prise est difficile.

Pourtant comme on l’a vu plus haut, visualiser ses objectifs peut vous y aider. Garder en soi ce doux optimisme, et se dire que quoi qui se passe on finira par s’en sortir.

Parce qu’après tout dans le passé, il y a déjà eu des obstacles à traverser. Et ces épreuves on les a passées et dépassées, par le passé on y est déjà arrivé.

19 Oser, arriver à dépasser

Comme on l’a vu un peu plus haut, lâcher prise est tout le contraire de se résigner à quelque chose. C’est parfois savoir dire non lorsqu’on le juge nécessaire et même s’autoriser à fonctionner différemment.

Ce n’est pas parce que la majorité mène une vie bien rangée, que c’est celle qui vous conviendra à vous. Cela oblige parfois à aller à l’encontre de ce qu’attend de vous la société ou certaines personnes de votre entourage.

Par exemple vous aurez toujours dans votre entourage une tata Gilberte qui vous dira que « c’est de la folie de quitter votre emploi en CDI » au prétexte que beaucoup rêveraient d’avoir un travail stable. On rencontre toujours ce genre de personnes qui existent dans presque toutes les familles.

Mais si votre emploi ne vous rend pas heureux et que vous avez l’opportunité d’en changer, pour quelque chose qui vous correspond d’avantage. Alors n’écoutez pas les bons préceptes de tata Gilberte, et faites-le

Cet exemple est là pour vous montrer que le lâcher prise, c’est aussi oser. Oser prendre une décision qui apportera du positif sur le long terme, même si c’est parfois difficile d’accepter de mettre de l’inconnu dans sa vie

20 Quelle leçon cela nous apprend ?

Lorsqu’on est confronté à un problème et qu’il génère en nous une résistance, il faut sans doute le voir comme une histoire, un récit. Et en prenant un pas de recul, se demander s’il n’y a pas un sens à tout ça.

La vie nous envoie parfois des épreuves difficiles, qui sont une occasion d’en apprendre d’avantage sur soi-même. Qui va nous donner la possibilité d’apprendre d’avantage sur soi, de grandir et d’évoluer.

Par exemple suite à une rupture amoureuse et après un long temps de deuil de la relation, il y a de véritables renaissances qui peuvent s’opérer. C’est une fois ces moments difficiles traversés que de grands changements positifs peuvent naître dans sa vie.

« Une fois la tempête passée, tu te demanderas comment tu as fait pour la traverser, comment tu as fait pour survivre. Tu ne seras très sûr, en fait, qu’elle soit vraiment achevée. Mais soit certain d’une chose: une fois que tu auras essuyé cette tempête, tu ne seras plus le même.
Tel est le sens de cette tempête. »

Haruki Murakami – Kafka sur le rivage

Le lâcher-prise c’est de tirer des leçons de la tempête, pour qu’elle nous change en mieux.

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